Ma fille, renais de tes blessures

A chaque carrefour de la vie, tout être conscient du parcours émis, se doit de s’arrêter pendant un moment pour porter un droit de regard sur les étapes des déserts émotionnels qui lui ont permis d’être affranchi ou qui ont fait de lui un prisonnier de ces propres pensées et de celle des autres. Moi, Alix N’guessan, quand je me suis retrouvé à cet arrêt, où il me fallait tout reconsidérer afin que je revive pour éclairer un type de personnes ayant vécu mon cas, je n’avais pas mesuré l’importance de cette tâche qui m’a été soumise de par le moyen de ma plume, qui serait le don qu’utiliserait, le Seigneur pour me faire retranscrire Sa pensée parfaite sur le pardon de soi, le pardon accordé à un tiers et la puissance qui réside dans ce pardon qui est difficilement manifesté de nos jours. Je croyais qu’il était impossible de pardonner. ; Je faisais partie de la team je pardonne mais je n’oublie pas… mais depuis que j’ai fait ce voyage dans le temps qui m’a permis de voir l’origine de mes maux intérieurs, j’ai compris la parole de Dieu qui dit en Matthieu 5V7 : « Heureux les miséricordieux, car ils obtiendront miséricorde ! » Pardonner à celui qui nous offense, est la preuve que nous sommes à l’image de Celui, qui a préconisé cette pratique régénérant la bonté d’un cœur qui a été martyrisé. Cette histoire, je vous la partage afin que tout comme moi, vous puissiez permettre à Dieu, de vous guérir, en usant de toute l’humilité possible car c’est de là que va découler le début de votre restauration intérieure… Que Dieu vous bénisse.