Ma soumise

Elle gémit les yeux fermés, je l'embrasse avec fougue, avide de sa bouche, buvant comme si je mourrais de soif, je la coince contre le mur, ses jambes viennent automatiquement s'enrouler autour de mes anches. Je continue de l'embrasser, caressant ses courbes voluptueuses. Je me fonds en elle, mon sexe dans mon caleçon ne demande qu'à sortir pour se perdre en elle. De mes deux mains, j'attrape ses fesses de part en part, les pressant, j'adore ses fesses. Je finis par me séparer d'elle, elle est à bout de souffle. Je reprends l'éponge, les genoux par terre, je recommence à frotter son ventre, la hanche, les cuisses que je caresse habilement, ma main remonte vers son sexe. Je m'y attarde, l'effleurant, le touchant délicatement, je vois le bouton de sa fleur se redresser, rempli de désir pour moi. Je le caresse, le taquine, je la ferme, les yeux agripper aux murs, gémissant sans retenue, j'ai eu envie de lui faire voir plus, de la faire jouir, je me penche vers ce bouton rose, gonflé de plaisir, ma bouche se presse sur son sexe. Je suce, lappe, ma langue se glisse dans sa fente, aspirant tout le jus qui y sort. Elle commence à trembler, je sens qu'elle est proche, je l'applique, suçant, mordillant, elle s'agrippe à mes cheveux, ses pieds ne la tiennent plus, elle glisse lentement vers le sol et moi avec, je retrouve couché entre ses cuisses. Elle est assise à même le sol, les cuisses grandes ouvertes et moi le visage dans ses cuisses, la bouche sur sa chatte, continuant de la sucer, pousse un cri de jouissance alors qu'elle éjacule sur mon visage. J'aspire tout le jus qui coule de son sexe, elle a les yeux fermés, ne voulant pas me regarder par honte. Je la redresse, lui caressant la joue : - Ouvre les yeux, ma reine, dis-je d'une voix douce, n'aie jamais honte de moi, ou de montrer ton plaisir, d'accord. Elle acquiert en bougeant la tête. - Répond avec la voix. - Oui, monsieur.