Je l'ai tué et sa mort m'a soulagée

Fanny a grandi en étant témoin des atrocités commises par son père, Fidèle, envers sa mère Brigitte. Dès le ventre de sa mère, elle a compris que Fidèle n’était pas un bon père et que sa seule mission était de briser non seulement le cœur de Brigitte, mais aussi le sien. Dès l’âge de six ans, Fanny décide de libérer sa mère en acquérant un revolver auprès de Cécile, une fille de son âge et l’enfant de Gilbert, policier. En échange de chocolat, Fanny obtient l’arme et attend dans sa chambre le retour de son père. Elle l’a confronté et lui a tiré dessus à trois reprises. Interrogée par les juges, elle a simplement déclaré : « Je l’ai tué et sa mort m’a soulagée. » Ce roman explore les profondeurs de la quête de justice et de libération d’une fille, ainsi que les conséquences qui en découlent.