Le bonheur est bivalent : la joie et la souffrance. C’est la souffrance qui est l’élément régulateur. Sans elle on tombera dans l’excès qui attirera l’ennui. Il a pour principe l’alternance.
On ne peut vivre les deux à la fois : soit la joie soit la souffrance. Non pas comme chez les stoïciens d’autrefois : sourire pendant que l’on souffre. Ça ? c’est de la naïveté. On fait semblant de braver la souffrance. Au contraire, il faut l’accepter.
Il faut consentir à la souffrance pour aller à la dimension supérieure du bonheur. C’est l’ascenseur qui mène vers le bonheur : il fait monter et descendre.
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