Elle n’avait ni père, ni mère. Alors qu’elle n’était encore qu’une gamine, la jeune Rosalie avait enduré des souffrances insupportables. La cruauté de sa marâtre était nulle autre pareille, inimaginable.
Mais un jour, tout changea. Un être descendit de l’au-delà et arracha Rosalie de cette souffrance interminable. Ce fantôme de l’autre monde déversa le tas de mensonge enfoui tout au fond de la marâtre de Rosalie. La douleur fut immense pour cet enfant lorsqu’elle découvrit qu’elle était le fruit des entrailles de cette femme qui la haïssait tant.
Alors que le cœur de la jeune fille sombrait dans la tristesse, un prince, le plus beau, le plus prestigieux, vint lui caresser le cœur, allumant en elle la flamme de l’amour. Rosalie se battit de toutes ses forces, elle se battit contre le vent, contre la marée, pour que sa marâtre ne lui arracha pas ce brin d’espoir.